Lorsqu’il ôte le capuchon du jeune page qu’il vient de capturer en pleine forêt, Aelric peine à en croire ses yeux : Constance, son amour de jeunesse, celle qu’il n’avait pas le droit de courtiser parce qu’il était saxon, se tient devant lui. Constance, qui l’a sauvé de la mort quand sa famille a été exécutée par les Normands, et lui promettait de fuir avec lui… ce qu’elle n’a ...