En cette fin d’après-midi de mon quatrième jour à Yesterday, je me tiens debout sur le pont du gigantesque voilier d’Isaac Shine. Il me regarde, torse nu, ses longs cheveux noirs de jais brillant au soleil, effarant de beauté dans son jean déchiré. Son sourire désolé est presque timide alors que j’aimerais l’entendre rire. Nous sommes si proches qu’il suffirait de se pencher l’...