« Dans leur univers capitonné, Jean-Noël et Marie-Ange se chauffaient au bon soleil de l’orgueil. Toutefois, le spectacle d’une trop grande misère, d’un aveugle tâtonnant en traversant la rue, d’une vieille femme décharnée et guenilleuse, ou bien encore certaines faces hostiles, leur donnaient une sensation pa...